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Voir UNA SI TU: PAISAGHJI (1976)
Paisaghji
Sim La Ré Mi La (bis) Mi7
La Mi7 Fa#m
Mi frigianu a memoria Issi capelli riccamati
La Mi Ré Mi
Ochji calisghjine è storia Pè isse strade è lochi ammati
La Mi Ré Mi
Sopr’a l'acqua d'istatina A to faccia di nunziata
Sim Mi La Mi La Sim
Collu d'acula marina Cù la pelle basirgata
Sim Mi La Mi La Sim
Collu d'acula marina Cù la pelle basirgata
Sim La Ré Mi La (bis) Mi7
La Mi7 Fa#m
Labre d'uva malvasia Cume duie ale accuppiate
La Mi Ré Mi
Fronte spechju è pusia Di settembre vi n'andate
La Mi Ré Mi
Chjar di luna nustalgia Cù li pianti di la fata
Sim Mi La Mi La Sim
Bocca toia via via Lingua è parulla fidata
Sim Mi La Mi La im
Bocca toia via via Lingua è parulla fidata
Sim La Ré Mi La (bis) Mi7
La Mi7 Fa##m
E bracce chjama luntana Spinu d'alba è di serenu
La Mi Ré Mi
Dinochje di la sulana Pochju chetu è tempu pienu
La Mi Ré Mi
Cù la so sete liata E to mani à lu scupertu
Sim Mi La Mi La Sim
Focu è fola sunniata Di e to ghjambe a libru apertu
Sim Mi La Mi La Sim
Focu è fola sunniata Di e to ghjambe a libru apertu
Sim La Ré Mi La (bis) Mi7
La Mi7 Fa#m
U to corpu muscatellu Pianu pianu respiratu
La Mi Ré Mi
Nant'à l'onde lu battellu Di u ricordu prufumatu
La Mi Ré Mi
U billicu nidicale Sessu e ventu inzzucheratu
Sim Mi La Mi La Sim
In pettu nidu e piuvale U core d'acellu sfiatatu
Sim Mi La Mi La Sim
In pettu nidu e piuvale U core d'acellu sfiatatu
Paisaghji
Do FaM7 Do
Do Sol Lam Sol
Mi frigianu a memoria Issi capelli riccamati
Do Sol Fa Sol
Ochji calisghjine è storia Pè isse strade è lochi ammati
Do Sol Fa Sol
Sopr’a l'acqua d'istatina A to faccia di nunziata
Rém Do Sol Do Fa
Collu d'acula marina Cù la pelle basirgata
Do Sol Fa Do
Collu d'acula marina Cù la pelle basirgata
Fa DO
Do Sol Lam Sol
Labre d'uva malvasia Cume duie ale accuppiate
Do Sol Fa Sol
Fronte spechju è pusia Di settembre vi n'andate
Do Sol Fa Sol
Chjar di luna nustalgia Cù li pianti di la fata
Rém Do Sol Do Fa
Bocca toia via via Lingua è parulla fidata
Do Sol Do Fa Do
Bocca toia via via Lingua è parulla fidata…
Fa DO
Do Sol Lam Sol
E bracce chjama luntana Spinu d'alba è di serenu
Do Sol Fa Sol
Dinochje di la sulana Pochju chetu è tempu pienu
Do Sol Fa Sol
Cù la so sete liata E to mani à lu scupertu
Rém Do Sol Do Fa
Focu è fola sunniata Di e to ghjambe a libru apertu
Do Sol Fa Do
Focu fole e sunniate di e to ghjambe à libru apertu…
Fa DO Fa DO
Do Sol Lam Sol
U to corpu muscatellu Pianu pianu respiratu
Do Sol Fa Sol
Nant'à l'onde lu battellu Di u ricordu prufumatu
Do Sol Fa Sol
U billicu nidicale Sessu e ventu inzzucheratu
Rém Do Sol Do Fa
In pettu nidu e piuvale U core d'acellu sfiatatu
Do Sol Do Fa Do
In pettu nidu e piuvale U core d'acellu sfiatatu
Mi frisgianu a memoria
Issi capelli ricamati
Ochji calighjine è storia
Pè isse strade è lochi amati
Sopr'à l'acqua d'istatina
A to faccia di nunziata
Collu d'acula marina
Cù la pelle basirgata
Labre d'uva malvasia
Cum'è duie ale accuppiate
Fronte spechju è puesia
Di settembre vi n'andate
Chjar di luna nustalgia
Cù li pianti di la fata
Bocca toia via via
Lingua è parulla fidata...
E bracce chjama luntana
Spinu d'alba è di serenu
Dinochje di la sulana
Pochju chetu è tempu pienu
Cù la so sete liata
E to mani à lu scupertu
Focu è fola sunniata
Di e to ghjambe à libru apertu...
U to corpu muscatellu
Pianu pianu rispiratu
Nant'à l'onde lu battellu
Di u ricordu prufumatu
Un billicu nidicale
Sessu ventu inzuccheratu
In pettu nidu è piuvale
Un cor d'acellu sfiatatu...
Ghjacumu Fusina
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À PROPOS DE EUGÈNE ANARELLA
Eugène Martin Anarella, (appelé "Jo Anarella" par ses amis et dit Artichjocca) est l'un des auteurs de chansons parmi les plus appréciées et les plus chantées sur l'île de Corse. Ses Textes sont chantés par les interprètes les plus connus (Antoine Ciosi, Charles Rocchi...) Qui ne connaît... "A fallata di ficaghjola", "u Campanile di San Ghjuvà", "Amicu mulatteru"... ?
Les sources dont nous disposons sont de deux ordres, les papiers fournis par les services d'État civil des Villes de Bastia et de Marseille et les témoignages directs de personnes ayant bien connu Anarella, Ange Jérôme Luciani, Philippe Cianfarani, Dominique Guglielmacci et Dominique Torrenti.
Eugène Anarella est le fils d'un marin, Sébastien Anarella, et d'une couturière, Lucie Pontinelli. Il puise ses origines en Corse, à Corte du côté maternel et à Bastia du côté paternel. Bastia, sa ville, dont il parlera si bien dans ses chansons, où il est né le matin du 8 mai 1917 dans l'étroite rue du môle qui descendait jadis de Saint Jean à la mer.
Cet horizon marin, sans doute autant que le chemin paternel aura orienté le jeune Eugène vers le métier de marin. Sa vraie origine, sa famille, c'est la place du marché à Bastia où sa mère a tenu un temps un magasin de chaussures et son oncle ou son cousin, la boucherie chevaline. Ce sont cette origine et cet amour qui transpirent des chansons qui portent sur Bastia : U Campanile di San Ghjuvà, A Falata di Ficaghjola, Spunta u sole in Bastia...
Comme le remarque fort justement Jean Dal Colletto qui préside la Fédération des Groupements Corses de Marseille et des Bouches-du-Rhône, Anarella fait partie de la diaspora corse dont les membres gardent un lien indéfectible, indissoluble avec leur vie d'origine, leur terre, leur ville, leur village, on le sent dans toute son œuvre.
On sait peu de choses de la vie d'Eugène Martin Anarella. Ce que l'on sait c'est qu'il a vécu une vie de marin sur les navires longs courriers des Messageries Maritimes, une grande compagnie qui faisait la liaison avec les Colonies, puis à la disparition de cette compagnie, il est allé à la Compagnie Générale Transatlantique, qui est devenue Compagnie Générale Transméditerranéenne, puis la Société Nationale Corse Méditerranée, la SNCM. Anarella naviguait en qualité de Maître d'Hôtel.
Il aura parcouru le monde à bord de ces navires pour toujours revenir dans cette chère Méditerranée comme en témoignent ses unions, d'abord en Tunisie, puis en Italie où il a eu une fille qui vit à Gênes et avec laquelle il n'a pas de contact... Anarella s'établit enfin à Marseille gardant son habitude, comme enfant à Bastia, de vivre non loin du port, dans le quartier de la Joliette, 19 rue Plumier.
Anarella, n'a que peu de famille, si ce n'est ses amis, les routiers et marins qu'il côtoyait à la joliette et la famille de Toussaint et Catherine Astolfi qui tenaient le « Modern bar », au 53 rue de la Major, devenue avenue Robert Schuman, il s'y rendait tous les jours. C'est d'ailleurs la fille des patrons de ce bar, Gilberte Astolfi Gastaud qui nous a donné les photographies d'Eugène Anarella dont nous disposons, ces photographies qui datent des années 70 ont été prises dans et devant cet établissement.
C'est le 4 février 1980 que disparaît Eugène Anarella, d'une crise cardiaque alors qu'il rendait visite à sa compagne à la clinique de l'avenue des Caillols.
Averti le soir par téléphone, Dominique Torrenti, Philippe Cianfarani, puis ses amis routiers et ceux qui fréquentaient le bar où Eugène avait l'habitude d'aller, se sont organisés à cinq ou six pour qu'il ait des obsèques dignes. Il est inhumé en fosse commune au cimetière Saint Pierre après une messe à l'église Saint Lazare à Marseille.
Eugène Anarella n'a pu être enterré à Bastia, car on ne trouve à l'époque pas de famille assez proche pour l'y accueillir. Bastia lui rendra hommage bien plus tard en inaugurant la piazzetta Anarella le 13 décembre 2013 en présence d'Émile Zucarelli, le maire et d'Antoine Ciosi.
Notons que la plaque donne deux "n" au nom d'Anarella, il semble qu'il n'en faut qu'un comme en témoignent les documents d'état civil (naissance, décès) et l'orthographe donnée à la SACEM.
C'est à Marseille que ses chansons s'écriront, souvent dans un premier jet sur un coin de nappe au bar de Toussaint à la Joliette comme en témoigne Ange Jérôme Luciani : "lors d'un apéritif, il écrivit un brouillon de chanson sur un coin de nappe en papier pour nous revenir le lendemain avec la chanson "L'amicu mulatteru" tant chantée depuis sur l'île de Corse, c'est comme ça que lui venait son inspiration".
Le témoignage de Torrenti est concordant : "Souvent il avait une inspiration au bar, il rentrait et dans la nuit, il écrivait. J'ai eu souvent le privilège d'avoir la primeur de ces chansons qu'il avait composées dans la nuit et il me disait "cet après-midi, j'ai appelé la pianiste, j'ai rendez-vous avec elle pour le mettre en musique.", Torrenti donne l'exemple de la chanson "I Stradaghji" : "Il avait fait les stradaghji, un soir où il prenait l'apéritif avec les routiers."
À propos d'influences musicales, Dominique Torrenti, nous apporte des informations. Pour l'influence musicale, outre ce qui se pratiquait en Corse à l'époque (Regina et Bruno, Les frères Vincenti, Charles Rocchi...), Anarella était très penché sur le flamenco : "Son idole c'était Manitas de Plata".
La pianiste est Odette Rochon, une pianiste marseillaise qui vivait au boulevard des Dames. Elle a signé la musique de la plupart des chansons d'Anarella déclarées à la SACEM : Amicu mulatteru, I Stradaghji, Macchiarone, Serenata à tè Maria, Spunta u sole in Bastia, Tango di Furiani. Cette pianiste l'aidait à mettre en musique, c’est-à-dire qu’elle lui écrivait les partitions sur la base de ses mélodies, c'est chez elle qu'ils composaient.
Merci à Ange Jérôme Luciani pour toutes les informations sur les chansons, le « Modern Bar » et tous les contacts qu’il a trouvés.
Merci à Philippe Cianfarani, un marin dont le logement était voisin de celui d'Anarella, qui a fourni pas mal d'informations notamment sur les obsèques d’Anarella et nous a mis en contact avec Dominique Torrenti.
Un grand merci à Dominique Torrenti car les informations que nous avons nous viennent pour une grande part de lui. Torrenti est un marin de Luri qui a bien connu Eugène Anarella du temps où il vivait à Marseille, il était pour lui un ami très proche, à tel point que ce dernier le nommait son "neveu" bien qu'ils n'aient aucuns liens familiaux. Mais il était, avec certains marins et routiers, sa famille, et leur maison était un port, la Joliette, ouvert sur la Corse d'Eugène, sur l'horizon.
Jean Giovanazzi
Chansons déclarées à la SACEM telles qu'elles apparaissent dans leur moteur de recherche :
MACCHIARONE
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
LIBECCIU CORSU
Compositeur : MIGIANI ARMAND, Antoine CIOSI
Auteur : EUGENE ANARELLA
Interprète : Antoine CIOSI
SERENATA A TE MARIA
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Interprète : Charles ROCCHI
TANGO DI FURIANI
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Interprète : Charles ROCCHI
I STRADAGHI
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Interprète : Antoine CIOSI
AMIGU MULATERU
Sous-titre(s) : MULATERN, AMICU MULATERU
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Interprète : Charles ROCCHI, Antoine CIOSI
SPUNTA U SOLE IN BASTIA
Sous-titre(s) : SOLE SPUNTA IN BASTI, U SOLE SPUNTA IN BAS
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Odette ROCHON
Interprète : Charles ROCCHI, Antoine CIOSI
A FALADA DI FIGAGHIOLA
Sous-titre(s) : A FALLATA DI FIGAGHI, FALATA DI FIGAGHIOLA
Arrangeur : BACARA BRUNO
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Auteur : EUGENE ANARELLA
Compositeur : Louis UNIA
Interprète : Charles ROCCHI, JEROME CIOSI, Antoine CIOSI
U CAMPANILE DI SAN GUIVA
Sous-titre(s) : CAMPANILE DE SAN GHI, CAMPANILE DI SAN GIO
Arrangeur : BACARA BRUNO
Editeur : OLIVIERI PHILIPPE EDIT
Compositeur : Fernand ISTRE
Auteur : EUGENE ANARELLA
Interprète : Charles ROCCHI, Ange LANZALAVI, Jean-Michel PANUNZIO, Antoine CIOSI, MICHELE MARTY, Bruno TAFANI
Nous possédons la chanson qui n'apparaît pas dans ce répertoire : RACONTAMI BASTIA, elle a été donnée à Ange Jérôme Luciani par Anarella, cette chanson date de 1977.
Pour jouer à la guitare la plupart de ces chansons on peut se rendre sur l'excellent site SUNEMU
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L'auteur de la chanson est Eugène Anarella.
I stradaghji
Ciosi - Anarella
Capo4
Lam Do Mi Lam
Ne parleranu à a veghja di tutti sti stradaghji
Lam Do Mi
Feste è trulaleru li ghjorni è settimane
Sempre pieni d’imbrogli, di donne è di guai
Lam
Quandu la pianteranu u diavule sangue d’un cane
Lam Do Mi Lam
Ellu la si passava beatu è spenseratu
Lam Do Mi
Santu di Canavaghja sgaiuffu è stradaghju
Per cantà, manghjà è beie paria propriu natu
Lam
In cantina Ghjuvan Carlu a notte à u Rataghju
Lam Do Mi Lam
Cosa averà pensatu lu nostru creatore
Lam Do Mi
Fallu tantu assitatu è tantu manghjuscone
Di lu fume d’arrostu ghjera sempre à l’odore
Lam
O Santu chi tu scioppi d’una indigestione
Lam Do Mi Lam
Ognunu à lu paese sempre à li dicia
Lam Do Mi
O Santu pianta à pena tutta sta bivendaghja
Spendi li to danari per tutta la Bastia
Lam
E più n’un ti si vede quassù per Canavaghja
Rém Lam
Spendi li to danari per tutta la Bastia
Mi Lam
E più n’un ti si vede quassù in Canavaghja
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Am Dm Am E
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Am Dm Am E
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Am G Dm E
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
Am G Dm E
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
Am Dm Am E
Ay de mi llorona, Llorona, de ayer y de hoy.
Am Dm Am E
Ay de mi llorona, Llorona, de ayer y de hoy.
Am G Dm E
Ayer era maravilla, Llorona, y ahora ni sombra soy.
Am G Dm E
Ayer era maravilla, Llorona, y ahora ni sombra soy.
Am Dm Am E
Dicen que no tengo duelo, Llorona, porque no me ven llorar.
Am Dm Am E
Dicen que no tengo duelo, Llorona, porque no me ven llorar.
Am G Dm E
Hay muertos que no hacen ruido, Llorona, y es más grande su penar.
Am G Dm E
Hay muertos que no hacen ruido, Llorona, y es más grande su penar.
Am Dm Am E
Ay de mi llorona, Llorona, de azul celeste.
Am Dm Am E
Ay de mi llorona, Llorona, de azul celeste.
Am G Dm E
Y aunque la vida me cueste, Llorona, no dejaré de quererte.
Am G Dm E
Y aunque la vida me cueste, Llorona, no dejaré de quererte.
Un petit groupe plein de talent
Les guitares de Suarina
capo 2
Mim / Lam / Mim / Si7
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Mim / Lam / Mim / Si7
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Mim / Ré / Do / Si7
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
Mim / Ré / Do / Si7
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
capo 4
Rém / Solm / Rém / La7
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Rém / Solm / Rém / La7
Todos me dicen el negro, Llorona, negro pero cariñoso.
Rém / Do / Sib / La7
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
Rém / Do / Sib / La7
Yo soy como el chile verde, Llorona, picante pero sabroso.
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Petite intro en basses si la sol fa# mi
Mim Ré
O s’idda fussi vera
Lam Si7
Trà mè è tè issa fola di l’amori
Mim Ré
S’idda fussi sincera
Lam Si7
Ugnitantu issa luci accesa in cori
Mim Ré
Ma trà no oghji un ci hè
Lam Si7
Chè bucil à plù pudè
Mim Ré
S’iddu ci fussi ancu
Lam Si7
Ghjust’un sol’abbraciu fidu, ma mancu !
Mim Ré
S’iddu ci fussi statu
Lam Si7
À pena di ver’in u basgiu datu
Mim Ré
Un saria firitu
Lam Si7
A morti iss’amori traditu.
Mim Fa#
A virità à fior’di li to labbri
Lam Si7
Un sarà mai colta
Mim Fa#
Chi u piccatu hè chi quand’è tù l’apri
Sim Mi7
Ancu par una sola volta
Lam Ré
Chi m’impremi ciò chi tù voli fà veda
Si7
Un ci possu più creda.
Petit pont de basses si la sol fa# mi
Mim Ré
U toiu lu vilenu
Lam Si7
In dulci surrisi si teni piattu
Mim Ré
E un li ferma sennu
Lam Si7
À quiddu ch’iddu si hè amasgiulatu
Mim Ré
Trà vo un ci sarà
Lam Si7
Chè dulori è falsità
Mim Ré
Quiddu chi ti s’affianca
Lam Si7
Perdi ghjudiziu è lu fiatu li manca..
Mim Ré
Li vurria fà senta
Lam Si7
A quiddu ch’ogh]i cù tecu a si stenta
Mim Ré
A so passioni pura
Lam Si7
Issa cosa avà plù chè sicura
Mim Fa#
A virità à fior’di li to labbri
Lam Si7
Un sarà mai colta
Mim Fa#
Chi u piccatu hè chi quand’è tù l’apri
Sim Mi7
Ancu par una sola volta
Lam Ré
Chi m’impremi ciò chi tù voli fà veda
Si7
Un ci possu più creda.
Petit pont de basses si la sol fa# mi
Mim Ré Lam Si7 (solo)
Mim Ré Lam Si7 (solo)
Mim Ré
Li vurria fà senta
Lam Si7
À quiddu ch’ogh]i cù tecu a si stenta
Mim Ré
U so sinceri amori
Lam Si7
Persu trà giola è dulori :
Mim
Se senza cori
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