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Par Ghjuvà le 20 Novembre 2014 à 16:05
La Convention internationale des droits de l'enfant a 25 ans !
C'est le droit des enfants (Dominique Dimey)
Je suis né dans un pays
Où je mange quand je veux
Où je grandis heureux
Mais toi, tu cours après la vie
Pour de l´eau, pour du riz,
Malgré tout, tu souris.
Tous, aller à l´école
C´est le droit des enfants,
Obtenir la parole
C´est le droit des enfants,
Manger tous à sa faim
C´est le droit des enfants,
Ne plus tendre la main
C´est le droit des enfants.
Pourquoi est partagée la Terre
D´un côté le bonheur
De l´autre la misère?
Tendons nos poignets et nos mains
Pour aider nos cousins
A vivre mieux demain.
Grandir sans avoir peur
C´est le droit des enfants,
N´écouter que son cœur
C´est le droit des enfants,
Inventer de grands rêves
C´est le droit des enfants,
De la guerre, faire trêve
C´est le droit des enfants,
Vivre entouré d´amour
C´est le droit des enfants.
Chantons la chanson pour
Pour le droit des enfants
Chacun de vous pourra
C´est le droit des enfants
Dire tout ce qu´il voudra
C´est le droit des enfants
Pour que ce petit air
C´est le droit des enfants
Fasse le tour de la Terre
C´est le droit des enfants.
Je suis né dans un pays
Où je mange quand je veux
Où je grandis heureux
Mais toi tu, cours après la vie
Pour de l´eau, pour du riz,
Malgré tout, tu souris.
Tous, aller à l´école
C´est le droit des enfants,
Obtenir la parole
C´est le droit des enfants,
Manger tous à sa faim
C´est le droit des enfants,
Ne plus tendre la main
C´est le droit des enfants,
Grandir sans avoir peur,
C´est le droit des enfants,
N´écouter que son cœur
C´est le droit des enfants.Télécharger « c'est le droit des enfants partition.pdf »
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3 commentaires -
Par Ghjuvà le 11 Novembre 2014 à 23:20
Et encore les leçons du passé.
Inlassablement.
Pour la Paix.
Le Chant des Partisans
Les Yeux Ouverts
2 commentaires -
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Par Ghjuvà le 18 Octobre 2014 à 00:25
Nanneddu meu
su mundu est gai,
a sicut erat
non torrat mai.
Semus in tempos
de tirannias,
infamidades
e carestias.
Como sos populos
cascant che cane,
gridende forte:
Cherimus pane!
Famidos, nois
semus pappande
pan'e castanza,
terra cun lande.
Terra ch'a fangu
torrat su poveru
senz'alimentu,
senza ricoveru.
Semus sididos
in sas funtanas,
pretende s'abba
parimus ranas.
Peus su famene
chi, forte, sonat
sa janna a tottus
e non perdonat.
Nanneddu meu
su mundu est gai,
a sicut eratnon torrat mai.
Cuddas banderas
numeru trinta,
de binu'onu,
mudad'hant tinta.
Appenas mortas
cussas banderas
non piùs s'osservant
imbreagheras.
Sos tristos corvos
a chie los lassas?
Pienos de tirrias
e malas trassas.
E gai chi tottus
faghimus gherra,
pro pagas dies
de vida in terra.
Nanneddu meu
su mundu est gai,
a sicut erat
non torrat mai.
Semus in tempos
de tirannias,
infamidades
e carestias.
Adiosu, Nanni,
tenedi contu,
faghe su surdu,
ettad'a tontu.A tantu, l'ides,
su mund'est gai,
a sicut erat
non torrat mai.Traduction prise sur "SARDAIGNE...MON ILE MERVEILLEUSE"
http://sardaignemonilemerveilleuse.midiblogs.com/archive/2008/01/31/naneddu-meu.html
PETIT JEAN
Cher Nannedu, ce monde est ainsi !
Comme il était, il ne redeviendra jamais plus :
Nous sommes en temps de tyrannie,
D’infamie et de famine ;
Comme ces peuples qui deviennent des chiens
En criant fort « Nous voulons du pain » !
Affamés, nous nous sommes nourris de châtaignes,
Terre avec des glands,
La terre est boue et laisse le pauvre
Sans nourritures, sans toit !
Nous sommes assoiffés aux fontaines,
Désirant de l’eau, nous ressemblons à des grenouilles !
Pire encore ! La faim frappe ardemment insistant
A toutes les portes et ne pardonne pas !
Petits avocats, licenciés,
Poches vides et fauchés !
Dans les campagnes, on mange mieux,
Comme les chèvres au milieu des buissons.
Lorsqu’ils ont faim, les petits avocats,
Pensent y trouver de la nourriture !
Même plus de rêves ! Leur problème
Est de soulager tant d’appétit !
Ces tristes corbeaux qui les laissent,
Plein de vices et de mauvais vices !
Canaille infâme ! Rempli d’orgueil !
Qui veut le sceptre et les commandes,
Mais ne nous fait pas revenir à ces anciens
Temps d’infamie et d’intrigues !
Complots à Rome, grand est l’obstacle :
L’épée est de fer, le bâton de bois !
L’apôtre idiot de ces Seigneurs
Feint d’être un Saint, bel imposteur !
Leurs corbeaux sont tristes et tourmentés,
Et sont la discorde des gens honnêtes !
Fous affamés, esclaves, faisons du vacarme :
Personne ne lève la main (le petit doigt !) !
Ces compagnies très nombreuses
De bon vin changent de couleur ;
A peine mortes, ces Compagnies
Ne se verront plus énivrées !
Ces corbeaux scélérats à qui les laisser ?
Plein de perfidie et d’escroqueries.
Et ainsi, tous nous faisons la guerre
Pour peu de jours de vie sur terre !
Adieu Nanni, tiens en compte !
Tu fais le sourd, tu feins d’être sot,
Beaucoup le savent : le monde est ainsi,
Comme il était ne reviendra jamais plus !
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Par Ghjuvà le 12 Octobre 2014 à 00:32
Gracias a la vida
Em B7- Em
Gracias a la vida que me ha dado tanto
D G
me di dos luceros que cuando los abro
B7- Em
perfecto distingo lo negro del blanco
B7- G
y en alto cielo su fondo estellado
D B7- Em
y en las multitudes al hombre que yo amo
Gracias a la vida, que me ha dado tanto
me ha dado el oido que en todo su ancho
graba noche y dia grillos y canarios
martillos, turbinas, ladridos, chubascos
y la voz tan tierna de mi bien amado.
Gracias a la vida que me ha dado tanto
Me ha dado el sonido y el abedecedario
Con él las palabras que pienso y declaro
Madre amigo hermano y luz alumbrando,
La ruta del alma del que estoy amando.
Gracias a la vida que me ha dado tanto
Me ha dado la marcha de mis pies cansados
Con ellos anduve ciudades y charcos,
Playas y desiertos montañas y llanos
Y la casa tuya, tu calle y tu patio.
Gracias a la vida que me ha dado tanto
Me dio el corazón que agita su marco
Cuando miro el fruto del cerebro humano,
Cuando miro al bueno tan lejos del malo,
Cuando miro al fondo de tus ojos claros.
Gracias a la vida que me ha dado tanto
Me ha dado la risa y me ha dado el llanto,
Así yo distingo dicha de quebranto
Los dos materiales que forman mi canto
Y el canto de ustedes que es el mismo canto
Y el canto de todos que es mi propio canto.
Gracias a la vida
Gracias a la vida
Gracias a la vida
Gracias a la vida.
Violeta Parra
joan BAEZ - Mercedes SOSA - gracias a la vida par christophe30130Merci à la vie.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné deux yeux et quand je les ouvre
Je distingue parfaitement le noir du blanc
Et là-haut dans le ciel, un fond étoilé
Et parmi les multitudes, l'homme que j'aime.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné d'entendre, oreilles grandes ouvertes
Enregistrer nuit et jour grillons et canaris,
Marteaux, turbines, aboiements, orages,
Et la voix si tendre de mon bien-aimé.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné la voix et des lettres
Avec lesquelles je pense les mots, et je dis
Mère, ami, frère, lumière qui éclaire
Le chemin de l'âme de celui que j'aime.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné de marcher de mes pieds fatigués
Et j'ai ainsi parcouru villes et marécages,
Plages et déserts, montagnes et plaines
Jusqu'à ta maison, ta rue, ta cour.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné un cœur qui devient débordant
Quand je vois le fruit du cerveau humain ;
Quand je vois la distance qu'il y a entre le bien et le mal
Quand je vois le fond de tes yeux clairs.
Merci à la vie qui m'a tant donné.
Elle m'a donné le rire, elle m'a donné les pleurs.
Ainsi, je distingue le bonheur du désespoir
Ces deux éléments qui forment mon chant,
Et votre chant qui est le même chant,
Et le chant de tous, qui est encore mon chant.
Violeta Parra
Sur Violetta Parra
http://museovioletaparra.cl/category/novedades/noticias/
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