• i Surghjenti - i cumbattanti d'onori

    Soirée de soutien aux marins du PASQUALE PAOLI Accords sunemu.net

    i Surghjenti - i cumbattanti d'onori

    Intro : MI min / DO / LA min / SI 7

    MI min / DO / LA min / SI 7
    MI min / LA min / MI min / LA min / MI min


    Quantu casi bioti ind'è vò paisani
    MI min / LA min / MI min
    Ch'aveti par dota u vosciu cori umanu
    MI min / LA min / MI min – FA #
    Pò quantu ziteddi l'ochji carchi à paura
    SI min / FA # / SI min
    Stridan'in faccia à quiddi chì mai n'ani primura
    DO / SOL / LA min / SI 7
    Vò pà tutti ziteddi frusti da u dulori
    DO / SOL / LA min / MI min
    Campeti sottu à i steddi è senza più timori
    DO / SOL / LA min / SI 7

    Quandu spunta l'alba cumbattiti cun ardori
    DO / SOL
    L'impegni di tutti 'ssi signori
    LA min / MI min
    Frà mezu à l'ingannu eu salutu u vosciu onori
    DO / SOL
    Chì annega u vintu traditori
    LA min / SI 7

    O quantu turturi quantu disparizioni
    Ma casca a paura quandu nasci raghjoni
    Si sparghji ugni ghjornu un cantu di virdura
    Fiurisci è à l'intornu faci vita sicura
    Sè tu generazioni nata à mezu à u tarrrori
    Porti la to passioni, pà l'altri u dulori

    Quandu spunta l'alba cumbattiti cun ardori
    L'impegni di tutti 'ssi signori
    Frà mezu à l'ingannu eu salutu u vosciu onori
    Chì annega u vintu traditori

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  • Inti Illimani

    Merci à Jean Louis de m'y plonger à nouveau, cela faisait longtemps que je n'avais pas sorti mon 33 tours ... Cependant la lutte continue, obstinément pour ceux dont les mains et le cerveau sont le capital.

    Inti Illimani

    Inti Illimani - Alturas

    Canción del Poder Popular - Inti Illimani

    Canción Del Poder Popular

    Si nuestra tierra nos pide
    tenemos que ser nosotros
    los que levantemos Chile,
    así es que a poner el hombro.

    Vamos a llevar las riendas
    de todos nuestros asuntos
    y que de una vez entiendan
    hombre y mujer todos juntos.

    Porque esta vez no se trata
    de cambiar un presidente,
    será el pueblo quien construya
    un Chile bien diferente.

    Todos vénganse a juntar,
    tenemos la puerta abierta,
    y la Unidad Popular
    es para todo el que quiera.

    Echaremos fuera al yanqui
    y su lenguaje siniestro.
    Con la Unidad Popular
    ahora somos gobierno.

    La patria se verá grande
    con su tierra liberada,
    por que tenemos la llave
    ahora la cosa marcha.

    Ya nadie puede quitarnos
    el derecho de ser libres
    y como seres humanos
    podremos vivir en Chile

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  • Cérémonie du 8 mai 2008 à Gardanne

    Les yeux ouverts

    Paroles écrites par les élèves du CM2 de l'année 2007/2008 de l'école de Fontvenelle de Gardanne. Le texte parle de l'action de Lucie Aubrac, une grande résistante. Musique : Ovivier Stalla

    Les yeux ouverts

    Parlé: Lucie Aubrac, toi tu as aidé à libérer notre pays, résistante toute ta vie nous te devons un peu de notre liberté pour le présent et l'avenir.

    Il ne faut pas oublier les résistants de la guerre
    Il ne faut pas oublier les victimes les souffrances passées
    Il ne faut pas oublier la différence assassinée
    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain
    Lucie nous a confessé toute la misère du monde
    On n'oubliera jamais la douleur du temps

    Lucie tous ensemble nous avons une force cachée
    Il faut la trouver pour préserver la paix

    Il ne faut pas oublier les femmes qui nous ont aidés
    Il ne faut pas oublier aujourd'hui leurs droits menacés
    Il ne faut pas oublier les personnes de couleur blessées
    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Il ne faut pas oublier la misère du temps passé
    Il ne faut pas oublier le malheur si vite arrivé
    Il ne faut pas oublier la mort dans son énormité
    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Il ne faut pas oublier les horreurs de la guerre
    Il ne faut pas oublier de se battre pour la liberté
    Il ne faut pas oublier la détresse, les balles tirées
    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Tu nous as nommés gardiens de la paix
    Et enseigné les leçons du passé
    A ton école, au présent, résister

    Refrain

    LA ROSE ET LE RÉSÉDA

    Les élèves du CM1 de fontvenelle nous disent "la rose et le réséda" de Louis Aragon pour la cérémonie du huit mai à Gardanne.

    dédicacé aux quatre résistants : Guy Môquet, Gabriel Péri, Honoré d'Estienne d'Orves et Gilbert Dru

    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Tous deux adoraient la belle
    Prisonnière des soldats
    Lequel montait à l'échelle
    Et lequel guettait en bas
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Qu'importe comment s'appelle
    Cette clarté sur leur pas
    Que l'un fut de la chapelle
    Et l'autre s'y dérobât
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Tous les deux étaient fidèles
    Des lèvres du coeur des bras
    Et tous les deux disaient qu'elle
    Vive et qui vivra verra
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Quand les blés sont sous la grêle
    Fou qui fait le délicat
    Fou qui songe à ses querelles
    Au coeur du commun combat
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Du haut de la citadelle
    La sentinelle tira
    Par deux fois et l'un chancelle
    L'autre tombe qui mourra
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Ils sont en prison Lequel
    A le plus triste grabat
    Lequel plus que l'autre gèle
    Lequel préfère les rats
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Un rebelle est un rebelle
    Deux sanglots font un seul glas
    Et quand vient l'aube cruelle
    Passent de vie à trépas
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Répétant le nom de celle
    Qu'aucun des deux ne trompa
    Et leur sang rouge ruisselle
    Même couleur même éclat
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    Il coule il coule il se mêle
    À la terre qu'il aima
    Pour qu'à la saison nouvelle
    Mûrisse un raisin muscat
    Celui qui croyait au ciel
    Celui qui n'y croyait pas
    L'un court et l'autre a des ailes
    De Bretagne ou du Jura
    Et framboise ou mirabelle
    Le grillon rechantera
    Dites flûte ou violoncelle
    Le double amour qui brûla
    L'alouette et l'hirondelle
    La rose et le réséda

    LOUIS ARAGON

    Le Chant des Partisans

    Chanté par les élèves de l'école de Fontvenelle le 8 mai 2008 à Gardanne.

    Le Chant des Partisans

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
    Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme !
    Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes.
    Montez de la mine, descendez des collines, camarades,
    Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades;
    Ohé les tueurs, à la balle et au couteau tuez vite !
    Ohé saboteur, attention à ton fardeau : dynamite ...
    C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères,
    La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère.
    Il y a des pays où les gens aux creux des lits font des rêves
    Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...
    Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe ;
    Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place.
    Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes
    Chantez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute...

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  • Les Yeux Ouverts

    Paroles écrites par les élèves du CM2 de l'année 2007/2008 de l'école de Fontvenelle de Gardanne. Le texte parle de l'action de Lucie Aubrac, une grande résistante.

    Les Yeux Ouverts

    Les yeux ouverts
    (Paroles: mes élèves du CM2 de l'année 2007/2008, musique Olivier Stalla)


    Parlé: Lucie Aubrac, toi tu as aidé à libérer notre pays, résistante toute ta vie nous te devons un peu de notre liberté pour le présent et l'avenir.

    Il ne faut pas oublier les résistants de la guerre
    Il ne faut pas oublier les victimes les souffrances passées
    Il ne faut pas oublier la différence assassinée

    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain
    Lucie nous a confessé toute la misère du monde
    On n'oubliera jamais la douleur du temps
    Lucie tous ensemble nous avons une force cachée
    Il faut la trouver pour préserver la paix

    Il ne faut pas oublier les femmes qui nous ont aidés
    Il ne faut pas oublier aujourd'hui leurs droits menacés
    Il ne faut pas oublier les personnes de couleur blessées

    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Il ne faut pas oublier la misère du temps passé
    Il ne faut pas oublier le malheur si vite arrivé
    Il ne faut pas oublier la mort dans son énormité

    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Il ne faut pas oublier les horreurs de la guerre
    Il ne faut pas oublier de se battre pour la liberté
    Il ne faut pas oublier la détresse, les balles tirées
    Hommes, femmes, enfants, résistants

    Refrain

    Tu nous as nommés gardiens de la paix
    Et enseigné les leçons du passé
    A ton école, au présent, résister

    Refrain

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  • Complainte de Pablo Neruda, Poème d'Aragon

    Je veux vivre dans un pays où il n'y a pas d'excommuniés. Je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains, sans autres titres que celui-ci, sans être obsédés par une règle, par un mot, par une étiquette. Je veux qu'on puisse entrer dans toutes les églises, dans toutes les imprimeries. Je veux qu'on n'attende plus jamais personne à la porte d'un hôtel de ville pour l'arrêter, pour l'expulser. Je veux que tous entrent et sortent en souriant de la mairie. Je ne veux plus que quiconque fuie en gondole, que quiconque soit poursuivi par des motos. Je veux que l'immense majorité, la seule majorité : tout le monde, puisse parler, lire, écouter, s'épanouir.

    Complainte de Pablo Neruda, Poème d'Aragon

    Je prends congé, je rentre
    chez moi, dans mes rêves,
    je retourne en Patagonie
    où le vent frappe les étables
    où l'océan disperse la glace.
    Je ne suis qu'un poète
    et je vous aime tous,
    je vais errant par le monde que j'aime :

    dans ma patrie
    on emprisonne les mineurs
    et le soldat commande au juge.
    Mais j'aime, moi, jusqu'aux racines
    de mon petit pays si froid.
    Si je devais mourir cent fois,
    c'est là que je voudrais mourir
    et si je devais naître cent fois
    c'est là aussi que je veux naître
    près de l'araucaria sauvage,
    des bourrasques du vent du sud
    et des cloches depuis peu acquises.
    Pablo Neruda


    Complainte de Pablo Neruda

    Fa / Sol / Do
    Je vais dire la légende
    Fa / Sol / Do
    De celui qui s'est enfui
    Fa / Sol / Do
    Et fait les oiseaux des Andes
    Fa / Sol / Do
    Se taire au cœur de la nuit

    Fa / Sol / Do
    Le ciel était de velours
    Fa / Sol / Lam
    Incompréhensiblement
    Fa / Sol / Do
    Le soir tombe et les beaux jours
    Fa / Sol / Do
    Meurent on ne sait comment

    Lam
    Comment croire comment croire
    Rem / Lam
    Au pas pesant des soldats
    Fa / Sol / Do
    Quand j'entends la chanson noire
    Fa / Sol / Do
    De Don Pablo Neruda

    Lorsque la musique est belle
    Tous les hommes sont égaux
    Et l'injustice rebelle
    Paris ou Santiago

    Nous parlons même langage
    Et le même chant nous lie
    Une cage est une cage
    En France comme au Chili

    Comment croire comment croire
    Au pas pesant des soldats
    Quand j'entends la chanson noire
    De Don Pablo Neruda

    Sous le fouet de la famine
    Terre terre des volcans
    Le gendarme te domine
    Mon vieux pays araucan

    Pays double où peuvent vivre
    Des lièvres et des pumas
    Triste et beau comme le cuivre
    Au désert d'Atacama

    Comment croire comment croire
    Au pas pesant des soldats
    Quand j'entends la chanson noire
    De Don Pablo Neruda

    Avec tes forêts de hêtres
    Tes myrtes méridionaux
    O mon pays de salpêtre
    D'arsenic et de guano

    Mon pays contradictoire
    Jamais libre ni conquis
    Verras-tu sur ton histoire
    Planer l'aigle des Yankees

    Comment croire comment croire
    Au pas pesant des soldats
    Quand j'entends la chanson noire
    De Don Pablo Neruda

    Absent et présent ensemble
    Invisible mais trahi
    Neruda que tu ressembles
    À ton malheureux pays

    Ta résidence est la terre
    Et le ciel en même temps
    Silencieux solitaire
    Et dans la foule chantant

    Comment croire comment croire
    Au pas pesant des soldats
    Quand j'entends la chanson noire
    De Don Pablo Neruda

    Complainte de Pablo Neruda

    Cantu à Pablo Neruda
    Aragon, adattatu da F. Lanfranchi/J. Ferrat

    Fa / Sol / Do
    Vi voddu cuntà a fola
    Fa / Sol / Do
    Di quiddu chì sì n'andò
    Fa / Sol / Do
    È da l'Andi a parolla
    Fa / Sol / Do
    Di l'aceddi si purtò

    Fa / Sol / Do
    Era viddutu lu celi
    Fa / Sol / Lam
    Ùn si sapia parchì
    Fa / Sol / Do
    À l'affaccà di li stelli
    Fa / Sol / Do
    Muria lu ghjornu quì

    Ricantu
    Lam
    Comu creda, comu creda
    Rem / Lam
    Comu creda o spirà?
    Fa / Sol / Do
    Neruda fà ci la veda
    Fa / Sol / Do
    A luci lla libartà

    Cù a musica ribedda
    L'omi sò pari dinò
    L'inghjustizia hè malacedda
    Da Parigi à Santiago

    Sarà unica la voci
    Cantu fratemu par dì
    "Dura hè la prighjò,feroci,
    In Francia o à u Chili"

    Ricantu
    Comu creda, comu creda
    Comu creda o spirà?
    Neruda fà ci la veda
    A luci lla libartà

    Sò i to furesti vechji
    Vechji quant'è libartà
    È li strazii chì tù spechji
    Sò spiranzi à assuvà

    Quali sè, lu me paesu
    Libaru o à cunquistà
    À l'appiattu o à palesu
    A to storia si farà!

    Ricantu
    Comu creda, comu creda
    Comu creda o spirà?
    Neruda fà ci la veda
    A luci la libartà

    T'assumiddi sinu à mai
    À lu to paesu ma
    I tradimentu è li guai
    Ti volini fà chità

    Neruda,sè di a tarra
    È di u celi dinò
    È a to rivolta spara
    Trà no'tutti par dì : innò!

    Ricantu
    Comu creda, comu creda
    Comu creda o spirà?
    Neruda fà ci la veda
    A luci lla libartà

     

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