• Un hommage à ...

    Jean-Baptiste Frédéric Isidore, baron Thielemans dit Toots pour Clio.

    Guitariste, harmoniciste et ...

     

    hyper siffleur (voir à 13 mn)

     

    Un grand parmi les grands, merci Clio pour cette bonne idée.

    Toots et Elis Regina

     

     

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  • Texte et traductions     Accords

     

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  • Autour de l'école proposé par Ellerium

    QUARTIER LATIN - Léo Ferré

    Ce quartier

    Qui résonne

    Dans ma tête

     

    Ce passé

    Qui me sonne

    Et me guette

     

    Ce Boul' Mich'

    Qu'a d'la ligne

    En automne

     

    Ces sandwichs

    Qui s'alignent

    Monotones

     

    Quartier latin

    Quartier latin

    Quartier latin

     

    Chez Dupont

    Ça traînait

    La journée

     

    C'était l'pont

    Qui durait

    Tout' l'année

     

    L'examen

    Ça tombait

    Comme un' tête

     

    Au matin

    Sans chiqué

    Ni trompettes

     

    Quartier latin

    Quartier latin

    Quartier latin

     

    Cett' frangine

    Qui vendait

    Sa bohème

     

    Et ce spleen

    Qui traînait

    Dans sa traîne

     

    J'avais rien

    Ni regrets

    Ni principes

     

    Les putains

    Ça m'prenait

    Comm' la grippe

     

    Quartier latin

    Quartier latin

    Quartier latin

     

    Ce vieux prof

    Qui parlait

    A son aise

     

    Très bien, sauf

    Que c'était

    Pour les chaises

     

    Aujourd'hui

    Un diplôme

    Ça s'rupine

     

    Aux amphis

    Tu point's comme

    A l'usine

     

    Quartier latin

    Quartier latin

    Quartier latin

     

    Les années

    Ça dépasse

    Comme une ombre

     

    Le passé

    Ça repasse

    Et tu sombres

     

    Rue Soufflot

    Les vitrines

    Font la gueule

     

    Sans un mot

    J'me débine

    J'ferm' ma gueule

     

    Je r'trouv' plus rien

    Tell'ment c'est loin

     

    L'Quartier latin

    LE PROF DE LETTRES - Nougaro

    LA MAÎTRESSE D'ÉCOLE - Brassens - Le Forestier

    Paroles & Musique : Georges Brassens

     

    intro : Mim Sim en alternance

    Mim                    Sim             Mim Sim      Mim                Sim                La7 Ré7 
    A l'école où nous avons appris l'A B C, La maîtresse avait des méthodes avancées. 
    Sol                            Mim                  Lam       Si7 Sol                  Mim             Si7   Mim La7 Ré7 Sol 
    Comme il fut doux le temps, bien éphémère, hélas, Où cette bonne fée régna sur notre classe, (bis)

    Mim                  Sim                  Mim Sim          Mim              Sim                   La7     Ré7 
    Avant elle, nous étions tous des paresseux, Des lève-nez, des cancres, des crétins crasseux. 
    Sol                    Mim           Lam         Si7  Sol                                   Mim                 Si7 Mim La7 Ré7 Sol 
    En travaillant exclusivement que pour nous, Les marchands d'bonnets d'âne étaient sur les genoux, (bis)

    Mim                      Sim               Mim Sim        Mim              Sim                     La7    Ré7 
    La maîtresse avait des méthodes avancées : Au premier de la classe elle promit un baiser, 
    Sol                       Mim               Lam Si7 Sol                   Mim                     Si7   Mim La7 Ré7 Sol 
    Un baiser pour de bon, un baiser libertin, Un baiser sur la bouche, enfin bref, un patin, (bis)

    Mim                Sim                    Mim    Sim      Mim             Sim                     La7       Ré7 
    Aux pupitres, alors, quelque chose changea, L'école buissonnière n’eut plus jamais un chat. 
    Sol                        Mim                      Lam   Si7    Sol                     Mim           Si7    Mim La7 Ré7 Sol 
    Et les pauvres marchands de bonnets d'âne, crac ! Connurent tout à coup la faillite, le krach, (bis)

    Mim                  Sim             Mim  Sim           Mim          Sim                La7 Ré7 
    Lorsque le proviseur, à la fin de l'année, Nous lut les résultats, il fut bien étonné. 
    Sol                           Mim                   Lam  Si7 Sol                         Mim                    Si7 Mim La7 Ré7 Sol 
    La maîtresse, elle, rougit comme un coquelicot, Car nous étions tous prix d'excellence ex-aequo, (bis)

    Mim          Sim               Mim  Sim       Mim          Sim                 La7       Ré7 
    A la récréation, la bonne fée se mit, En devoir de tenir ce qu'elle avait promis. 
    Sol                           Mim             Lam Si7 Sol                         Mim         Si7   Mim La7 Ré7 Sol 
    Et comme elle embrassa quarante lauréats, Jusqu'à une heure indue la séance dura, (bis)

    Mim                   Sim            Mim   Sim          Mim        Sim                 La7 Ré7 
    Ce système bien sûr ne fut jamais admis, Par l'imbécile alors recteur d'académie. 
    Sol                    Mim                 Lam   Si7 Sol                         Mim              Si7      Mim La7 Ré7 Sol 
    De l'école, en dépit de son beau palmarès, On chassa pour toujours notre chère maîtresse, (bis)

    Mim               Sim           Mim Sim     Mim                   Sim           La7   Ré7 
    Le cancre fit alors sa réapparition, Le fort en thème est redevenu l'exception. 
    Sol                 Mim              Lam    Si7  Sol                           Mim                   Si7    Mim La7 Ré7 Sol 
    A la fin de l'année suivante, quel fiasco ! Nous étions tous derniers de la classe ex-aequo, (bis)

    Mim                     Sim             Mim Sim     Mim                 Sim               La7   Ré7 
    A l'école où nous avons appris l'A B C, La maîtresse avait des méthodes avancées. 
    Sol                           Mim                  Lam      Si7   Sol                  Mim              Si7    Mim La7 Ré7 Sol 

    Comme il fut doux le temps bien éphémère, hélas ! Où cette bonne fée régna sur notre classe, (bis)

    La leçon buissonnière - Jean Ferrat

    Rosa - Jacques Brel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Prof - Reggiani

    A huit heures pile, il entrait dans la classe
    Comme d'autres montent à l'échafaud
    Sous les fous rires les cris et les grimaces
    Le prof essuyait le tableau

    Dans une odeur de cigarette blonde,
    Il essayait mais vainement,
    De démontrer que notre est ronde
    Aux trois lèche-culs du premier rang
    Sa vie n'était qu'une longue défaite
    Mais, cramponné à son bureau
    Il nous parlait sous une pluie de fléchettes
    De la bataille de Waterloo...
    Les autres profs, ils étaient plutôt vaches,
    Ils nous piquaient nos mercredis
    Il fallait bien que jeunesse se passe
    Alors, on l'a passée sur lui
    Qu'est ce qu'il a pris comme avions sur la tête
    D'accord Blériot, ça volait bas
    Excusez-moi, mais j'avais l'âge bête
    Et je l'ai encore quelquefois
    On se foutait comme de l'an quarante
    De ses ancêtres les Gaulois
    C'était à qui serait le roi des cancres
    Et moi, j'étais souvent le roi

    Un beau matin, j'ai dû rendre mes billes
    Après un dernier pied de nez
    Je suis parti voir la gueule de la vie...
    Il n'en avait jamais parlé.

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  • GHJOCHI 

     

     (accords Sunemu)

    CAPO3

     

    MI min/DO/LA min

    Baddaremu a guerra in corti di la scola

    LA min/RE/MI min

    Suldati d'una stonda cú li scusali scuri...

    MI min/DO/LA min

    E lu prufumu longu di sta risa chi svola

    LA min/RE …..SOL

    Sará d'inghjostru amaru é di cunfitura

     

    SOL/RE/MI min

    A spissu l'istatina, infiara l'aria bienna

    MI min/RE/SOL

    Da schjarisce in li visi, i nosci ochja ingridatti

    SOL/RE/MI min

    E tutti li sicreti spartuti dopu cena

    MI min/RE/MI min

    Ghjunti á li to labbra, só basgi impivarati

    MI min/RE/MI min

    Middi lumi d'arghjentu, di ramu e di mari

    MI min/RE/SOL

    in li vapori strani di la me zitiddina 

    SOL/RE/MI min

    Un firmaia piú nimu, era notti, mi pari

    MI min/RE/MI min

    E puri la to voci era cusi vicina...

     

    E po veni lu tempu, piu nudu é piu sicretu

    Paru á li to oghji d'isuli ch'un so mei

    Chi ciambotta li sensa é lu cori piu chetu

    Brusgendu per i strada u vanu di l'idei

    Mimoria vagabonda, immensa e fantina

    Inventa lindumani á senta lu so fiatu

    Ch'ormai i to ricorda ún so ché pulvarina

    U focu’lli so ghjorna m'há dighjá cunsumatu...

     

    Middi rimori dati com'é tanti pricheri

    E li sapori vani di cio chi un fu fattu

    Firmaiani li toi á di ch'é tú nun c'eri

    E tutti sti piaceri ch'eiu ún t'aghju cuntatu

    Middi rimi circati par di á tremavoci

    Ch'eiu ti tinia caru ma l'anni si so persi

    Ti sianu cuncessi sta tarra é una croci

    E com'é tistamenttu un pocu di sti versi...

     

    Jeux

     

    Nous jouerons à la guerre dans la cour de l’école

    Soldats de quelques instants aux sombres tabliers

    Et le long parfum de ce rire qui s’envole

    Serait-il d’encre amère ou de confitures

     

    Souvent l’été enflamme l’air innocent

    Pour que s’éclaire sur les visages nos regards froncés

    Et tous les secrets échangés après dîner

    Venus à tes lèvres, ce sont des baisers poivrés

     

    Mille lumières d’argent de rameaux et de mers

    Dans les vapeurs étranges de mon enfance

    Il ne restait plus personne, il me semble qu’il faisait nuit

    Et pourtant ta voix était si proche

     

    Et puis vient le temps plus intimes, plus secret

    Semblable à tes yeux d’îles, qui ne m’appartiennent

    Bouleversant les sens et apaisant les cœurs

    En brulant sur la route la futilité des idées

     

    Mémoire vagabonde immense et candide

    Imaginant des lendemains auprès de ton souffle

    Car désormais tes souvenirs ne sont que poussières

    Le feu de ses jours m’a déjà consommé

     

    Mille bruits donnés comme tant de prières

    Et les vaines saveurs de ce qui n’a pu être fait

    Il restait les tiennes pour traduire ton absence

    Et tous ces plaisirs que je ne t’ai pas racontés

     

    Mille rimes cueillies pour dire à voix tremblante

    Que je t’aimais mais les années se sont perdues

    Que cette terre et une croix te soient offertes

     

    Et comme testament un peu de ces vers

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  • MCO 250, proposé par toinon zut, j'ai raté la date, bon je propose une longue vidéo qui est bien dans le sujet.

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