• ça m'énerve

    Pour nalain, C'était un bon WE

    Bon un peu de culture ...
    En 1862, Louis Ernest Ladurée, souvent mentionné comme arrivant du sud-ouest mais né à Paris le 21 février 1836, minotier de son état, crée une boulangerie au 16 rue Royale, au cœur de Paris. La Madeleine est alors un quartier d'affaires en pleine croissance, où sont installés des artisans du luxe français.

    En 1871, un incendie permet la reconstruction de la boulangerie, et sa transformation en pâtisserie. Jules Chéret, peintre notoire de la fin du siècle, est chargé de la décoration de cette nouvelle pâtisserie. En s'inspirant des techniques utilisées pour peindre les plafonds de l'Opéra Garnier, il donne relief et profondeur aux plafonds. Il les orne de petits anges joufflus, notamment celui que l'on désigne comme l'« ange pâtissier », qui inspirera plus tard tous les éléments graphiques de la maison.

    Sous le Second Empire, Paris a connu un fort développement des cafés, qui se veulent de plus en plus luxueux. Avec les restaurants chics de la place de la Madeleine, ces cafés deviennent des lieux de rendez-vous réputés. Les Parisiens se mettent à sortir, les femmes veulent faire de nouvelles rencontres, mais les salons et cercles littéraires ne sont plus à la mode. L'épouse d'Ernest Ladurée, Jeanne Souchard, fille d'un hôtelier de Rouen, a l'idée de mélanger les styles : le café traditionnel parisien, et la pâtisserie, qui donne naissance à l'un des tout premiers salons de thé de Paris. L'avantage de ce salon sur certains cafés est que les femmes peuvent être accueillies en toute liberté. En 1930, a lieu l'ouverture d'un salon au premier étage, réalisé par Pierre Desfontaines, le petit cousin de Louis Ernest Ladurée.

    En 1993, David Holder et son père, Francis, fondateur du groupe Holder, achètent et agrandissent la maison. En septembre 1997, un second Ladurée est ouvert 75 avenue des Champs-Élysées puis un troisième petit magasin situé rue Bonaparte.

    Régulièrement, Ladurée crée de nouveaux desserts, comme les macarons au caramel et au citron vert basilic, au muguet pour le 1er mai...

    (source wiki)

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  • La isla bonita - Madonna

    Pour ma petite fille

    La isla bonita - Madonna

    Como puede ser verdad

    Last night I dreamt of San Pedro
    Just like I'd never gone, I knew the song
    A young girl with eyes like the desert
    It all seems like yesterday, not far away

    Tropical the island breeze
    All of nature wild and free
    This is where I long to be
    La isla bonita
    And when the samba played
    The sun would set so high
    Ring through my ears and sting my eyes
    Your Spanish lullaby

    I fell in love with San Pedro
    Warm wind carried on the sea, he called to me
    Te dijo te amo
    I prayed that the days would last
    They went so fast

    Tropical the island breeze
    All of nature wild and free
    This is where I long to be
    La isla bonita
    And when the samba played
    The sun would set so high
    Ring through my ears and sting my eyes
    Your Spanish lullaby

    I want to be where the sun warms the sky
    When it's time for siesta you can watch them go by
    Beautiful faces, no cares in this world
    Where a girl loves a boy, and a boy loves a girl

    Last night I dreamt of San Pedro
    It all seems like yesterday, not far away

    Tropical the island breeze
    All of nature wild and free
    This is where I long to be
    La isla bonita
    And when the samba played
    The sun would set so high
    Ring through my ears and sting my eyes
    Your Spanish lullaby

    Tropical the island breeze
    All of nature wild and free
    This is where I long to be
    La isla bonita
    And when the samba played
    The sun would set so high
    Ring through my ears and sting my eyes
    Your Spanish lullaby

    La la la la la la la
    Te dijo te amo
    La la la la la la la
    El dijo que te ama

    Par Alizée

    La Isla Bonita (La Belle Ile)

    Comment peut-on oublier cela...

    La nuit dernière, j'ai rêvé de San Pedro
    Alors que je n'y suis jamais allée, je connaissais la chanson
    Une jeune fille avec des yeux comme le désert
    Comme si c'était hier, pas si loin

    [Refrain]
    Brise tropicale de l'île
    Nature entièrement libre et sauvage
    C'est là où j'ai envie d'être
    La Isla Bonita
    Et quand on joue la Samba
    Le soleil se couchant si haut
    Résonnant dans mes oreilles et piquant mes yeux
    Votre berceuse espagnole

    Je suis tombée amoureuse de San Pedro
    Un vent tiède caressant la mer, il m'appelait
    Je te dis que je t'aime
    J'ai prié pour que ces jours durent
    Ils sont partis si vite

    [Refrain]

    Je veux être où le soleil réchauffe le ciel
    Quand c'est l'heure de la sieste, tu peux les regarder passer
    Beaux visages, aucun souci dans ce monde
    Où une fille aime un garçon, et un garçon aime une fille

    La nuit dernière, j'ai rêvé de San Pedro
    Comme si c'était hier, pas si loin

    [Refrain] (x2)

    La la la la la la la...
    Je te dis que je t'aime
    La la la la la la la...
    Il te dit qu'elle t'aime

    Accords
    Capo 4
    Intro: Am G

    Como puede ser verdad

    Am G Am
    Last night I dreamt of San Pedro
    F C G
    Just like I'd never gone, I knew the song
    Am G Am
    A young girl with eyes like the desert
    F C G
    It all seems like yesterday, not far away

    Chorus:
    Am Em
    Tropical the island breeze
    Dm C
    All of nature wild and free
    G Dm
    This is where I long to be
    Em Am
    La isla bonita
    Am Em
    And when the samba played
    Dm C
    The sun would set so high
    G Dm
    Ring through my ears and sting my eyes
    Em Am
    Your Spanish lullaby

    solo:

    e -----------------------------------------------------------------------
    B ----5-5-4-5---7--7/9----9-10-12-10-9-----9----------------------
    G ------------------------------------------10----9--10--8--9---8------
    D --------------------------------------------------------------9---11---
    A -----------------------------------------------------------------------
    E -----------------------------------------------------------------------

    I fell in love with San Pedro
    Warm wind carried on the sea, he called to me
    Te dijo te amo
    I prayed that the days would last
    They went so fast

    solo II:

    e --9-9-9-----------------------------------------------------------------------------------
    B ---------12--9/10/9------9/10/9---------------------------9---------------------------
    G -----------------------11--------------------8-9-11-9-8-9---11-9-8-----8/9/8-------
    D -------------------------------------10-11-------------------------------9--------9-11-
    A --------------------------------------------------------------------------------------------
    E --------------------------------------------------------------------------------------------

    e ------------------------------------------------
    B ----------------------------12-10------------
    G ----------8-9-11-13-14--------------------
    D --11-10--------------------------------------
    A -----------------------------------------------
    E -----------------------------------------------


    Dm Am C G
    I want to be where the sun warms the sky
    Dm Am C G
    When it's time for siesta you can watch them go by
    Dm Am C G
    Beautiful faces, no cares in this world
    Dm Am C E Am
    Where a girl loves a boy, and a boy loves a girl

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  • Lamentu a Nicoli

    Jacky Micaelli - Fusina

    Lamentu a Nicoli

    Lamentu a Nicoli

    O cum’è tù cunniscie
    Le bellezze di lu core
    Prima di piglià le vie
    Chì ti purtonu da more
    Quandu chì le negre spie
    Lentonu lu so furore

    A cità n’era durmente
    E le case insunnulite
    Quandu a quellu muru arrente
    S’apriinu le to ferite
    L’anima turnò dulente
    E le lacrime salite.

    Quale sà cum’ellu fece
    Lu boia quella matina
    A imponeli la so legge
    Cù la so manu assassina
    Ma à tè n’ùn pobbe regge
    For di metteti in ruvina.


    Traduction par Jacques Fusina prise sur le site UNA SI TU

    Comme tu les connaissais
    toutes les beautés de l'âme
    avant même ces chemins
    qui te menèrent à la mort
    ne déchaînent leur fureur

    La ville s'endormait
    maisons ensommeillées
    lorsque le long de ce mur
    s'ouvrirent tes blessures
    l'âme alors se fit dolente
    et nos larmes amères

    Qui sait comment il s'y prit
    le bourreau ce matin-là
    pour que s'impose sa loi
    et sa main assassine
    mais elle ne put te soumettre
    autrement que par ta ruine

     

    « A mes enfants, Tout à l'heure je partirai. Si vous saviez comme je suis calme, presque heureux de mourir pour la Corse et pour le parti. Ne pleurez-pas, souriez-moi. Soyez fier de votre papa. Il sait que vous pouvez l'être, la tète de Maure et la fleur rouge, c'est le seul deuil que je vous demande. Au seuil de la tombe, je vous dis que la seule idée qui, sur notre pauvre terre, me semble belle, c'est l'idée communiste.

    Je meurs pour notre Corse et pour mon Parti ». Jean Nicoli

     

    http://www.curagiu.com/nicoli.htm

    Des accords avec Diana Saliceti en fond, très beau !

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  • Quellu affissu zifratu - L'Affiche Rouge

    Le 21 février 1944,  les nazis exécutaient au Mont-Valérien les héros de l'Affiche rouge.

    Quellu affissu zifrati - L'Affiche Rouge

    Quellu affissu zifratu
    L'affiche rouge de Louis Aragon, adapté en langue corse par Jacques Fusina

    Sol Sim
    Sciacconu quell'affissu una mane d'inguernu
    Sim Sol
    Nant'à li muri scalcinati di a cità
    Lam Sim
    À l'albore tristezza è senza umanità
    Sim Lam
    U carrughju paria a porta di l'infernu
    Lam Sim
    Chì sparitu ne era ogni segnu pietà

    Eranu una vintina d'omi ritrattati
    A faccia mascherata à tratti d'al di là
    Chì lasciavanu sola un'idea d'età
    È u penseru stancu à l'ochji tribulati
    Quale sò issi figlioli, dite per carità

    Ma nimu si frastorna è nimu si ribella
    Chì pesa tantu in core a guerra à sistemà
    Chì costa troppu tandu un attu libertà
    È si terne dinù la disgraziata stella
    Chì quella infamità fermava da inventà

    Eppuru issi zitelli casconu quella mane
    È colma fù cusì la morte assurdità
    Chì le cose n'ùn fussinu fatte à metà
    È ch'ellu ùn si perdissi u gustu di u pane
    Oghje quale sà più, oghje quale a sà

    Tenimu à mente i fatti è tenimuli cari
    Quelli morti di l'ombra è di a libertà
    Quelli figlioli astuti eroi à parità
    Di l'affissu zifratu à rossi calamari
    Chì scrissenu la storia, quella chì venerà.



    Article sur l'Affiche rouge dans Fasgianu:
    L'affiche rouge, Aragon, Ferre

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