• Lamentu di u banditu - Tino Rossi

    Je sais, ce chant est déjà présent sur "Fasgianu" ... mais pas cette video.

    Lamentu di u banditu - Tino Rossi

    Oramai a mezza machja eu so banditu
    Ma se banditu so, hè per l'onore
    Par campa for di legge e da rimitu
    Ancu di l'arba eu rispettu lu fiore.
    U drittu hè la raggio di li me guaï
    Un corsu hè curagiosu e vile mai(bis)

    A vita di u banditu hè mischinella
    Si sta ancu l'arme nude a for di rettu
    U vole, di una fronda o di un acella
    Mi porta di u nemicu e lu suspettu
    Cume l'antichi corsi omi di core
    Pronti se m'a tumbà e pronti a more(bis)

    Sola una stilittata mi cunfonde
    In tutta sta verdura generosa
    Quande u chjamu e chi l'ecu risponde
    Senza dammi la voce di la me sposa
    Di basgi quandu mi trovu privu
    Mi pare d'esse più mortu che vivu (bis)

    O Corsica annanata da lu mare
    Terra di eroi addulurata e sola
    Le to virtù le tengu tante care
    Chi di la sorte hè cio chi mi cunsola
    Di sangue per rompe le to catene
    Daria di lu core e le me vene ( bis)

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  • COMME ILS DISENT

    Un beau texte d'Aznavour, une interprétation forte de Lara Fabian. Un beau texte, pour parler de la différence et aussi dénoncer la bêtise

    COMME ILS DISENT

    J'habite seul avec maman
    Dans un très vieil appartement
    Rue Sarasate
    J'ai pour me tenir compagnie
    Une tortue, deux canaris
    Et une chatte

    Pour laisser maman reposer
    Très souvent je fais le marche
    Et la cuisine
    Je range, je lave, j'essuie
    À l'occasion je pique aussi
    À la machine

    Le travail ne me fait pas peur
    Je suis un peu décorateur
    Un peu styliste
    Mais mon vrai métier
    C'est la nuit
    Ou je l'exerce travesti
    Je suis artiste

    J'ai un numéro très spécial
    Qui fini a nu intégral
    Après strip-tease
    Et dans la salle je vois que
    Les malles ne croient pas leurs yeux
    Je suis un homo - comme ils disent

    Vers les trois heures du matin
    On va manger entre copains
    De tous les sexes
    Dans un quelconque bar-tabac
    Hélas, on s'en donne a coeur joie
    Et sans complexes
    On déballe des vérités
    Sur des gens qu'on a dans le nez
    On les lapide

    Mais on le fait avec humour
    Enrobe dans des calembours
    Mouiller l'acide

    On rencontre des attardes
    Qui pour épater leur tablée
    Marchent et ondulent
    Singeant ce qu'ils croient être nous
    Et se couvrent, les pauvres fous,
    De ridicule

    Ça gesticule et parle fort
    Ça joue les divas, les ténors
    De la bêtise
    Moi, les lazzi, les quolibets
    Me laissent froid, puisque c'est vrai
    Je suis un homo - comme ils disent

    À l'heure ou naît un jour nouveau
    Je rentre retrouver mon lot
    De solitude
    J'ôte mes cils et mes cheveux
    Comme un pauvre clown malheureux
    De lassitude

    Je me couche mais ne dors pas
    Je pense a mes amours sans joie
    Si dérisoires
    À ce garçon beau comme un dieu
    Qui sans rien faire a mis le feu
    À ma mémoire

    Ma bouche n'osera jamais
    Lui avouer mon doux secret
    Mon tendre drame
    Car l'objet de tous mes tourments
    Passe le plus clair de son temps
    Au lits des femmes

    Nul n'a le droit en vérité
    De me blâmer, de me juger
    Et je précise
    Que c'est bien la nature qui
    Et seule responsable si
    Je suis un homo - comme ils disent

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  • TU VERRAS TU VERRAS

    "Car la poudre et la foudre, c'est fait pour que les rats envahissent le monde"

    TU VERRAS TU VERRAS

    Ah, tu verras, tu verras Tout recommencera,tu verras, tu verras

    L'amour c'est fait pour ça, tu verras, tu verras
    Je ferai plus le con,j'apprendrai ma leçon
    Sur le bout de tes doigts,tu verras, tu verras
    Tu l'auras, ta maison avec des tuiles bleues
    Des croisées d'hortensias,des palmiers plein les cieux
    Des hivers crépitants,près du chat angora
    Et je m'endormirai,tu verras, tu verras
    Le devoir accompli,couché tout contre toi
    Avec dans mes greniers,mes caves et mes toits
    Tous les rêves du monde

    Ah, tu verras, tu verras Tout recommencera,tu verras, tu verras
    La vie, c'est fait pour ça,tu verras, tu verras
    Tu verras mon stylo emplumé de soleil
    Neiger sur le papier l'archange du réveil
    Je me réveillerai,tu verras, tu verras
    Tout rayé de soleil,ah, le joli forçat !
    Et j'irai réveiller le bonheur dans ses draps
    Je crèv'rai son sommeil,tu verras, tu verras
    Je crèv'rai le sommier,tu verras, tu verras
    En t'inventant l'amour dans le cœur de mes bras
    Jusqu'au matin du monde

    Ah, tu verras, tu verras Tout recommencera,tu verras, tu verras
    Le diable est fait pour ça,tu verras, tu verras
    Je ferai le voyou,tu verras, tu verras
    Je boirai comme un trou et qui vivra mourra
    Tu me ramasseras dans tes yeux de rosée
    Et je t'insulterai dans du verre brisé
    Je serai fou furieux,tu verras, tu verras
    Contre toi, contre tous,et surtout contre moi
    La porte de mon cœur grondera, sautera
    Car la poudre et la foudre,c'est fait pour que les rats
    Envahissent le monde

    Ah, tu verras, tu verras Tout recommencera,tu verras, tu verras
    Mozart est fait pour ça,tu verras, entendras
    Tu verras notre enfant étoilé de sueur
    S'endormir gentiment à l'ombre de ses sœurs
    Et revenir vers nous scintillant de vigueur
    Tu verras mon ami dans les os de mes bras
    Craquer du fin bonheur de se sentir aidé
    Tu me verras, chérie,allumer des clartés
    Et tu verras tous ceux qu'on croyait décédés
    Reprendre souffle et vie dans la chair de ma voix
    Jusqu'à la fin des mondes

    Ah, tu verras, tu verras

    O che serà - Chico Buarque

     

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  • Corsica - Guelfucci (Pour Mathieu)

    Corsica - Guelfucci

    Lam   Mi7                  Lam La7

    In un scornu di lu mondu,

    Rém                              Lam Mi7

    ci he un locucciu tenerezza

    Lam          Mi7              Lam La7

    ind'u mio core, maestosu,

    Rém                     Lam Mi7

    imbalsama di purezza

    Do#m Sol#7         Do#m Do#7

    ghjuvellu di maraviglie,

    Fa#m                 Do#m Sol#7 

    un ne circate sumiglie,

    Do#m Sol#7         Do#m Do#7

    un truverete la para;

    Fa#m                 Do#m Sol#7 

    ghje unica sola e cara, 

    Lam Sol Do Rém Mi

    Corsica.

     

    Lam   Mi7                  Lam La7

    Face sempre tant'inviglia

    Rém                         Lam Mi7

    su scogliu ciottu in mare,

    Lam     Mi7          Lam La7

    tesoru chi spampilla

    Rém                        Lam Mi7

    sacru cum'he un altare

    Do#m  Sol#7         Do#m Do#7

    calma, dolce cum'agnella,

    Fa#m                     Do#m Sol#7 

    generosa e accugliente,

    Do#m Sol#7     Do#m Do#7

    si rivolta e si ribella

    Fa#m                          Do#m Sol#7 

    s'omu disprezza a so ghjente.

     

    Lam Sol Do Rém Mi

    Corsica.

     

    Corsica.

    La version accords en rém permet de la chanter à une tonalité plus basse, on met le capo comme on veut, enfin comme on peut car pour le faire comme Guelfucci il faudrait un capo 7, 5 pour mezu mezu, le capo 7 à partir du solm c'est délicat avec une classique. Dans ce cas prendre les accords de Sunemu que j'ai mis plus bas ou ceux d'au dessus en Lam.

    Rém   La7                  Rém Ré7

    In un scornu di lu mondu,

    Solm                              Rém La7

    ci he un locucciu tenerezza

    Rém          La7              Rém Ré7

    ind'u mio core, maestosu,

    Solm                     Rém La7

    imbalsama di purezza

    Fa#m Do#7         Fa#m Fa#7

    ghjuvellu di maraviglie,

    Sim                 Fa#m Do#7 

    un ne circate sumiglie,

    Fa#m Do#7         Fa#m Fa#7

    un truverete la para;

    Sim                 Fa#m Do#7 

    ghje unica sola e cara,

     

    Rém Do Fa Solm La

    Corsica.

     

    Rém   La7                  Rém Ré7

    Face sempre tant'inviglia

    Solm                         Rém La7

    su scogliu ciottu in mare,

    Rém     La7          Rém Ré7

    tesoru chi spampilla

    Solm                        Rém La7

    sacru cum'he un altare

    Fa#m  Do#7         Fa#m Fa#7

    calma, dolce cum'agnella,

    Sim                     Fa#m Do#7 

    generosa e accugliente,

    Fa#m Do#7     Fa#m Fa#7

    si rivolta e si ribella

    Sim                          Fa#m Do#7 

    s'omu disprezza a so ghjente.

     

    Rém Do Fa Solm La

    Corsica.

    Corsica.

    (accords Sunemu)

    Am e7/b am/c am/c#
    In un scornu di lu mondu,
    Dm dm7/c am e7
    ci he un locucciu tenerezza
    Am e7/b am/c am/c#
    ind'u mio core, maestosu,
    Dm dm7/c am e7
    imbalsama di purezza
    C#m g#7 c#m c#7
    ghjuvellu di maraviglie,
    f#m f#m6 c#m g#7
    un ne circate sumiglie,
    Bis
    un truverete la para;
    Fm e7 e7/ab
    ghje unica sola e cara,

    Am g c dm e4 e7
    Corsica.

    Face sempre tant'inviglia
    su scogliu ciottu in mare,
    tesoru chi spampilla
    sacru cum'he un altare
    calma, dolce cum'agnella,
    generosa e accugliente,
    si rivolta e si ribella
    s'omu disprezza a so ghjente.

    Corsica.

    Corsica.

    Arpège (Capo 5) (Sunemu)



    E E E E E E E E E E E E E E E E
    E||--3-----------3-----------|--3-----------2-----------|
    B||-----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    G||--------0-----------0-----|--------0-----------0-----|
    D||-----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    A||--------------------------|--------------------------|
    E||--0-----------------------|--2-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --0-----------0-----------|--0-----------0-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------1-----------1-----|--------1-----------1-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --3-----------------------|--4-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --------------5-----------|---3-------------2---------2--|
    --1--------1-----------1--|-------------1----------------|
    --------2-----------2-----|----------2-------------2-----|
    -----2-----------2--------|-------2-------------2--------|
    --0-----------0-----------|--(0)-----------(0)-----------|
    --------------------------|------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E H
    --0------------3------------|---2------------------(2)--------|
    -----------0-------------0--|-----------------(0)-------------|
    --------0-------------0-----|------------(0)------------------|
    -----2-------------2--------|-------(2)-----------------------|
    --2-----------(2)-----------|--(2)----------------------------|
    ----------------------------|---------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --3-----------3-----------|--3-----------2-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------0-----------0-----|--------0-----------0-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --0-----------------------|--2-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --0-----------0-----------|--0-----------0-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------1-----------1-----|--------1-----------1-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --3-----------------------|--4-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --------------5-----------|---3-------------2---------2--|
    --1--------1-----------1--|-------------1----------------|
    --------2-----------2-----|----------2-------------2-----|
    -----2-----------2--------|-------2-------------2--------|
    --0-----------0-----------|--(0)-----------(0)-----------|
    --------------------------|------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E H
    --0------------3------------|---2------------------(2)--------|
    -----------0-------------0--|-----------------(0)-------------|
    --------0-------------0-----|------------(0)------------------|
    -----2-------------2--------|-------(2)-----------------------|
    --2-----------(2)-----------|--(2)----------------------------|
    ----------------------------|---------------------------------|



    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --3-----------3-----------|--3-----------2-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------0-----------0-----|--------0-----------0-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --0-----------------------|--2-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --0-----------0-----------|--0-----------0-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------1-----------1-----|--------1-----------1-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --3-----------------------|--4-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --------------5-----------|---3-------------2---------2--|
    --1--------1-----------1--|-------------1----------------|
    --------2-----------2-----|----------2-------------2-----|
    -----2-----------2--------|-------2-------------2--------|
    --0-----------0-----------|--(0)-----------(0)-----------|
    --------------------------|------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E H
    --0------------3------------|---2------------------(2)--------|
    -----------0-------------0--|-----------------(0)-------------|
    --------0-------------0-----|------------(0)------------------|
    -----2-------------2--------|-------(2)-----------------------|
    --2-----------(2)-----------|--(2)----------------------------|
    ----------------------------|---------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --3-----------3-----------|--3-----------2-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------0-----------0-----|--------0-----------0-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --0-----------------------|--2-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --0-----------0-----------|--0-----------0-----------|
    -----------0-----------0--|-----------0-----------0--|
    --------1-----------1-----|--------1-----------1-----|
    -----2-----------2--------|-----2-----------2--------|
    --------------------------|--------------------------|
    --3-----------------------|--4-----------------------|


    E E E E E E E E E E E E E E E E
    --------------5-----------|---3-------------2---------2--|
    --1--------1-----------1--|-------------1----------------|
    --------2-----------2-----|----------2-------------2-----|
    -----2-----------2--------|-------2-------------2--------|
    --0-----------0-----------|--(0)-----------(0)-----------|
    --------------------------|------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E H
    --0------------3------------|---2------------------(2)--------|
    -----------0-------------0--|-----------------(0)-------------|
    --------0-------------0-----|------------(0)------------------|
    -----2-------------2--------|-------(2)-----------------------|
    --2-----------(2)-----------|--(2)----------------------------|
    ----------------------------|---------------------------------|


    E E E E E E E E E E E E H
    --4--------4--7--------7--|--7---L----L---(7)--(7)--------||
    --------4-----------4-----|----------(4)------------------||
    -----4-----------4--------|-----(4)-----------------------||
    --------------------------|-------------------------------||
    --------------------------|-------------------------------||
    --4-----------4-----------|--3---L----L----L----L---------||

    Corse

    Il est au monde
    un lieu de tendresse
    qui embaume mon coeur
    de pureté
    joyau merveilleux
    il n'a pas de semblable
    il n'a pas son pareil
    il est unique, elle est merveille :

    Corse.

    Il fait envie tellement
    ce rocher dans la mer
    trésor étincelant
    sacré comme un autel
    doux, généreux, accueillant et serein
    il se révolte et se rebelle
    si l'on méprise les siens.

    Corse.

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  • Baudelaire

    Baudelaire

    Saez - Les femmes damnées

    Ferre - Spleen

     

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